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Novembre 2017 - N°31 |
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| Lettre d'information CERL |
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www.cerl.fr |
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04-74-92-66-00 |
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| Edito |
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Bonjour *|PRENOM|* *|NOM|*,
Eve Béslile, poète et l’une des doyennes de notre humanité, eut ces mots : «Il est bon de faire confiance au temps qui passe : l'avenir nous révèle toujours ses secrets». La sagesse et la confiance sont des vertus qui ont toute leur place dans le métier très particulier du transport «Out of Gauge» et dans la logistique des projets industriels.
Sans la confiance en leur prestataire, les risques encourus par les Supply Chain Manager des groupes industriels deviennent alors insupportables et leurs conséquences inacceptables par les Directions Financières.
Mais la confiance ne s’achète pas sur un coin de table, pas plus qu’elle ne se gagne sur le papier. C’est une vertu qui s’installe, prend ses repères et instille patiemment tous les acteurs de l’opération logistique. Elle ne se transporte pas dans une valise et retourne à néant lorsque l’on essaie de la réimplanter dans un terreau qui n’est pas le sien.
La confiance entre CERL et ses clients repose sur une histoire faite de succès et de challenges réciproques, sur un esprit d’entreprise ancré dans son patrimoine génétique. Le temps qui passe éclaire les différents chemins qui, de la confiance à la trahison, font parfois croire, dans l’ombre, à un même but.
Merci de votre confiance.
Georges NOUVEAU |
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SOMMAIRE
 Edito
Projet GloMEEP
Certificats Eur.1 et Form A
Fret aérien, année record
Dernières réalisations |
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| ALLIANCE MONDIALE POUR LA RÉDUCTION DES ÉMISSIONS DE CARBONE |
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Le projet GloMEEP (Global maritime energy efficiency partnerships) est né cet été à l’initiative de plusieurs acteurs majeurs du transport maritime et de la construction de navires. Cette nouvelle alliance mondiale est destinée à renforcer les efforts des acteurs du transport maritime et leurs partenaires dans la réduction de leurs émissions de carbone.
Treize entreprises ont ainsi signé le lancement de cette alliance, sous l'égide du projet GloMEEP, une initiative commune du Fonds pour l'environnement mondial (FEM), du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) et de l'Organisation maritime internationale (OMI).
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Il s’agit concrètement de développer des solutions innovantes pour mettre en œuvre des technologies dans les domaines suivants : rendement énergétique, meilleures pratiques opérationnelles, carburants alternatifs ou encore numérisation.
Selon le Secrétaire général de l'OMI, M. Kitack Lim, «cette nouvelle Alliance permettra d'aider le secteur des transports maritimes à contribuer à la réduction des gaz à effet de serre et à l'atténuation du changement climatique, conformément aux objectifs de développement durable des Nations Unies».
Avant que d’autres acteurs ne les rejoignent sûrement, les 13 membres fondateurs de cette alliance vertueuse sont :
ABB Engineering, DNV GL SE, Lloyd's Register EMEA, MarineTraffic, MSC, Ricardo UK, Royal Caribbean Cruises, Shell International Trading and Shipping, Silverstream Technologies, Stena AB, Total Marine Fuels, Wärtsilä Corporation, Winterthur Gas & Diesel.
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| LA FIN PROGRAMMÉE DES CERTIFICATS EUR.1 ET FORM A |
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 Depuis le 1 janvier 2017 les preuves d’origine utilisées pour le SPG (Système des Préférences Généralisées) ont évolué. L’auto-certification de l’origine des marchandises sur un document commercial est devenue la norme. Les certificats EUR.1 et FORM A visés par les autorités douanières, pour chaque envoi, sont progressivement remplacés par des attestations d’origine émises, directement par l’exportateur, sur un document commercial. L’objectif pour l’Administration est de dématérialiser les justificatifs et faciliter les procédures douanières.
Actuellement, vous pouvez demander le visa de certificat d’origine à un bureau de douane dans deux cas uniquement :
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Lors d’une exportation : Visa d’un certificat EUR.1 pour des marchandises originaires de l’Union Européenne et exportées dans un pays bénéficiaire du SPG pour le recours au cumul bilatéral.
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Lors d’une importation : Visa d’un ou plusieurs certificat FORM A de remplacement pour des marchandises originaires d’un pays bénéficiaire du SPG et fractionnées pour être dédouanées en plusieurs lots.
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Durant l’année 2017, ces certificats peuvent toujours être utilisés par les autorités douanières. Mais à la date du 1er janvier 2018, les formulaires EUR 1 et FORM A ne pourront plus être utilisé dans l’Union Européenne. L’attestation d’origine devra uniquement être utilisée. Le système reste identique, l’exportateur ajoute une mention sur le document commercial qui permet ainsi d’identifier les marchandises. Depuis le 1er janvier, l’attestation d’origine peut ainsi remplacer la déclaration d’origine sur facture. Attention, si vous êtes bénéficiaire du statut d’exportateur agréé, vous ne pourrez donc plus l’utiliser pour émettre des déclarations d’origine sur facture.
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Lors d’une exportation : l’attestation d’origine peut être émise par tout exportateur quand la valeur des produits originaires de l’envoi ne dépasse pas 6 000 Euros ou par un exportateur enregistré quand la valeur des produits originaires de l’envoi dépasse 6 000 Euros.
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Lors d’une importation : dans le cas du fractionnement, une attestation d’origine de remplacement peut être émise par tout ré-expéditeur quand la valeur des produits originaires de l’envoi ne dépasse pas 6 000 Euros ou par un ré-expéditeur enregistré quand la valeur des produits originaires de l’envoi dépasse 6 000 Euros. Si les marchandises sont envoyées de la Norvège ou de la Suisse vous pouvez également l’utiliser.
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L’entrée en application de cette réforme est progressive. Pour les preuves émises dans l’UE, l’attestation d’origine remplace la déclaration d’origine sur facture depuis le 1er janvier 2017. Concernant les certificats EUR.1 (et les FORM A de remplacement), ils pourront être encore visés par les autorités douanières pendant une période d’un an, soit jusqu’au 31 décembre 2017.
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| ANNÉE RECORD EN PERSPECTIVE |
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Le trafic aérien mondial de fret a augmenté durant l’été de 11,4%, soit un troisième mois consécutif de progression à deux chiffres … Le fret aérien mondial connaît enfin une véritable embellie ! Selon les chiffres publiés par IATA (Association du transport aérien international) le trafic avait déjà progressé de 10,4 % en début d’année, comparé aux six premiers mois de 2016. Selon IATA, cette progression du trafic est supérieure à celle des capacités, ce qui influence positivement le coefficient de remplissage et les recettes unitaires.
UNE ANNÉE RECORD ?
Le secteur du fret aérien relève enfin la tête, 2017 s’annonce comme une année record. IATA a d’ailleurs revu récemment à la hausse ses prévisions sur la rentabilité de l’industrie aérienne pour 2017, estimant que les compagnies aériennes enregistreront des bénéfices de 31,4 milliards de dollars cette année, au lieu de 29,8 milliards de dollars selon une précédente estimation.
Un regain d’activité qui trouve ces racines dans l’amélioration du commerce mondiale avec des commandes à l’export qui reparte à la hausse. Les compagnies européennes sont les premières bénéficiaires de cette belle embellie. Elles ont enregistré une progression du trafic de plus de 13,6 %. Les compagnies d’Asie-Pacifique progressent de 10,1 % et les compagnies Nord-américaines accroissent également leurs trafics de 9,3 %.
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| POUR LE FRET AÉRIEN MONDIALE |
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Les compagnies du Moyen-Orient progressent à un rythme moindre de 7,6 %. On constate également une forte progression du trafic réalisé par les transporteurs africains. Durant les six premiers mois de l'année le trafic a progressé de plus 25,9 %. Une augmentation record qui peut s’expliquer par une demande qui a été stimulée par une forte croissance en provenance et à destination de l'Asie.
DÉLAI ET SECURITE
Ces évolutions seront profitables aux clients CERL. Le transport aérien apporte de nombreuses solutions aux besoins logistiques à travers le monde.
Industrie pétrolière ou gazière, produits classifiés et dangereux, aide humanitaire, installations ou approvisionnement d’usines, les secteurs industriels qui ont recours à l’affrètement d’avions cargo pour le transport de fret sont nombreux et en constante progression.
Associant rapidité et fiabilité, le transport aérien est un excellent garant du transit time et il constitue à ce jour le mode de transport le plus sûr au monde.
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| TRANSPORT D’UNE BOUÉE D’AMARRAGE ET D’ACCESSOIRES VERS ALEXANDRIE |
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Durant l’été 2017, CERL a réalisé le transport d’une bouée d’amarrage (CALM BUOY) avec une dizaine de colis supplémentaires à destination d’Alexandrie en Egypte. Un projet hors norme avec une prise en charge aux Emirats Arabes Unis d’une bouée de 240 tonnes (17x17x11) et 10 caissons de colis et d’accessoires.
Le remorquage de la bouée s’est effectué depuis le chantier naval à jusqu’au port de Mussafah. La bouée a ensuite été chargée sur le bateau Heavy lift directement depuis l’eau. L’acheminement s’est déroulé jusqu’à Alexandrie avec un déchargement dans l’eau.
 
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CONSULTER LA VIDÉO DE LA RÉALISATION
La grande expérience des équipes CERL et de son réseau d'agents ont permis de mener le projet à bien pour la plus grande satisfaction du client et de tous les acteurs de ce projet ambitieux.
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Le transport exceptionnel à l’international et le transport de colis lourds (hors gabarit ou out of gauge) sont une affaire de spécialiste où l’expérience et l’innovation doivent être au rendez-vous. Chaque convoi exceptionnel, lourd ou hors gabarit est un cas particulier et unique.
CERL a construit son organisation et ses prestations autour du transport sur mesure, chaque cas particulier de transport devient alors un service CERL parfaitement adapté à la stratégie de l’entreprise. N'hésitez pas à nous contacter pour vos projets !
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